algerie
48 wilayas d'Algerie
01 adrar
Adrar, ensemble montagneux du Sahara, situé dans le centre de la Mauritanie.
2. MILIEU NATUREL Plateaux de l'Adrar (Mauritanie) Plateaux de l'Adrar (Mauritanie) L'Adrar est un ensemble montagneux du Sahara, situé dans le centre de la Mauritanie. Encyclopédie Encarta Nik Wheeler/Corbis Agrandir Les plateaux tabulaires de l’Adrar, plissés selon un axe nord-sud-ouest, bordent à l’ouest l’immense plaine de sable de la Majabat al-Koubra. Profondément entaillés par l’érosion, entrecoupés d’oueds, le plus souvent à sec, ils s’élèvent à une altitude moyenne de 500 m, culminant à 835 m au piton de Teniagouni. Des oasis, menacées par l’avancée des sables, constituent les seuls pôles de peuplement. On y cultive le palmier-dattier depuis le début de notre ère, ainsi que le mil, le blé et l’orge. Atar, l’agglomération la plus importante, en bordure méridionale de l’Adrar est ceinturée de jardins-maraîchers. À l’est de Chinguetti s’étendent de grands ergs, jusqu’à Ouadane, dernière cité avant la Majabat al-Koubra. Aux confins orientaux du massif, le Guelb er Richat, vaste de 40 km, constitué de cercles concentriques, correspond au cratère d’un volcan avorté.
3. HISTOIRE Des vestiges archéologiques témoignent que l’Adrar est peuplé dès le paléolithique. Une civilisation acheuléenne de chasseurs-nomades a laissé des bifaces, des hachereaux et autres outils vieux de 300 000 à 400 000 ans. D’abondantes pointes de flèches et de nombreuses peintures et gravures rupestres, notamment dans l’impressionnante passe d’Amodjar entre Atar et Chinguetti, permettent de retracer le passage au néolithique, les plus anciennes peintures rupestres étant datées de 8 000 à 6 000 ans avant notre ère. La domestication des bovins est attestée au troisième millénaire avant J.-C.
L’islam s’est diffusé depuis le sud marocain dans l’Adrar mauritanien dès le viiie siècle, par l’intermédiaire des marchands empruntant les routes caravanières. Celles-ci sont dominées au xie siècle par les Sanhadja berbères, d’où sont issus les Almoravides. Le commerce transsaharien, qui permet le transit de l’or du Soudan, du cuivre d’Akjout et du sel d’Idjil vers le Maroc, des étoffes et des armes d’Afrique du Nord vers le Mali et l’Afrique noire, assure la prospérité des villes caravanières. Ouadane est la plus importante des cités marchandes de l’Adrar, mais Chinguetti, fondée au xiiie siècle, rayonne sur l’islam de l’Ouest saharien. Centre de rassemblement des pèlerins en partance pour La Mecque, elle voit affluer les érudits et les étudiants dans ses écoles, ses bibliothèques et ses mosquées, et devient la septième ville sainte de l’islam pour les Mauritaniens.
La disparition du grand commerce transsaharien annonce le déclin des villes anciennes de l’Adrar, classées aujourd’hui au patrimoine mondial par l’Unesco, qui s’efforce de conserver les milliers de manuscrits figurant dans leurs bibliothèques. Le prestige des lettrés se maintient sous la domination des Hassan, qui fondent un émirat dans l’Adrar au xviie siècle. Les tribus Hassan opposent alors une farouche résistance à la colonisation française, au-delà de la conquête lancée par le commandant Gouraud en 1908.
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02 Cheleff
Chleff, en arabe Ech Cheliff, ville du nord de l’Algérie, sur le fleuve Chélif.
C’est un pôle commercial pour les produits agricoles de la région et un petit centre industriel (impression, maroquinerie et produits alimentaires).
La ville fut fondée en 1843, comme fort français, sur le site d’une antique cité romaine, Castellum Tingitanum. Celle-ci fut sévèrement endommagée par des tremblements de terre en 1954 et en 1980. Chleff, s’appela Orléansville jusqu’en 1964, puis El-Asnam.
Population (1983) : 119 000 habitants.
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03 Laghouat
Laghouat mandat est l'un de l'algérien de quarante-huit, est la ville capitale État de Laghouat. Contenant beaucoup de bonnes choses célèbre en palmier dattier et que personnes sont plus généreux Laghouat siège de la ville touristique dans le Palais des Ford ou coin Altjanih célèbre dans le monde entier ou mandat de résidus de résidus du mandat ou le mandat du berbère algérien situé dans la partie orientale du pays. Bordé au sud et de l'est Khenchela Tébessa, ouest du mandat d'inclinaison et Batna et au nord du mandat de Guelma, Constantin. Loin de la capitale de l'état d'Alger à environ 500 mètres sur la côte donnant sur la mer Méditerranée, qui est situé à 300 km au nord de la frontière de l'état de la Tunisie et environ 100 mètres. [Modifier] population population estimée n'empêche pas de 600 mille habitants couvrant 29 population municipalités remplaçant (Shawia). De plus grandes villes de l'état de la ville [[ou résidus] avec une population de plus de 150 000 habitants = Service Melilla nommé une des plus grandes zones rurales circuit caractérisé où l'agriculture et élevage, soit le centre de la ville est un centre important pour le commerce de toutes sortes, où tout vendu est la recherche de pièces de voitures de pièces spéciales client et dispositifs Alaketromenzlih presque cela est l'énorme ville industrielle en Algérie. Suivie de la ville de Vérone a été nommée en termes de recensement de la région et de la population. Bruno nommé est la principale source de revenus de l'État, arguant qu'il gère le commerce et divers types de Allbusac et de tissus d'ameublement et de chaussures. Vaste quantité de marchandises importées des pays asiatiques tels que la Chine et les Émirats arabes Unis. Et considère la destination de la ville de nombreux visiteurs et Almtdain en raison des bas prix et diversifiée quantité des marchandises. On ne trouve aussi qu'aucune ville entre parenthèses Tantdharalastglal roumain Bhaathar, aussi appelé le mandat ou le mandat de résidus mont Sir Ferguson entourant la municipalité ou une chose de résidus qui leur donne un spectacle naturel merveilleux et mois pour faire revivre la municipalité ou les résidus Sonataiba La Albetons inférieure ci-dessus isolé 30 millions bonheur et mentor quartier Althtanih quartier Mohammed Lakhdar touristes (spray de bouleau) et l'absorption, Hydra et relancer le marché d'agriculteurs sous un renouveau d'un ancien mouvement fréquent et commerce, est également considéré comme le mandat ou le mandat modèle de résidus en Algérie depuis toutes les routes et les bâtiments est le thème peut dire sauf que merveilleux. Il y a aussi des Service Sagittaire, qui est considéré comme l'un des sites archéologiques plus importants, où l'ensemble de la ville de personnes Doulman, mais il n'a été révélé encore ces effets encore, parce qu'il y a toute la ville en vertu de la forêt « Ezra » il était révélé très peu de ces antiquités. L'État ou la tribu des plus célèbres est les boys tribu de Albwavi Abdel Wahab *** les garçons et Amara, *** fils Ahmed dit Achehraqbilh dans l'État ou les résidus sont résidentiels, composé de plusieurs tribus comprend également la vieille ville de le 02 arrondissement victoire ensemencée Kahi idéal et une banlieue Nmodji mieux nantis dans l'État où il vit lorsque habitants autochtones de la ville.
04 Batna
Batna, ville du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de wilaya, au nord du massif de l'Aurès.
Pôle commercial de la région agricole, Batna est reliée par voie ferrée au port méditerranéen d'Annaba. À l'ouest, sur les pentes du mont Touggour, se dressent des forêts de cèdres. À proximité se trouvent les ruines romaines de Timgad et de Lambèse. Batna fut fondée en 1840 par les Français et resta longtemps une ville de garnison.
Population (1998) : 242 514 habitants.
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05 Bejaia
Bejaïa, ville et port du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya de Bejaïa, à l'est de la Grande Kabylie sur la mer Méditerranée.
Les principales productions locales sont le vin, les minéraux, la laine, les peaux. Situé au débouché d'un important oléoduc (Hassi Messaoud), le port de Bejaïa exporte des hydrocarbures.
Fondée par les Carthaginois, la ville devint un important carrefour commercial et une base militaire de l'Empire romain. Au Ve siècle, Gaiséric, le roi des Vandales, s'en empara et l'entoura de fortifications. Occupée ensuite par les Berbères, la ville devint, en 1062, la capitale d'une dynastie berbère et demeura pendant de nombreuses années l'un des ports les plus importants d'Afrique du Nord. Après une occupation espagnole (1509), puis turque (1555), la ville perdit progressivement de son importance et, au début du XIXe siècle, elle n'était plus qu'une cité en ruines. Après avoir été prise par les Français en 1833, Bejaïa retrouva une certaine prospérité. Le port fut agrandi et remis en état et une ligne ferroviaire fut construite afin de relier la ville au réseau Tunis-Oran.
Population (1987) : 114 534 habitants.
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07 Biskra
1. PRÉSENTATION Biskra, ville du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de wilaya.
2. ÉCONOMIE Située dans une oasis fertile au sud-ouest du massif de l'Aurès, Biskra est un centre de commerce pour les nomades de la région. La culture des fruits (dattes, olives, abricots et grenades) représente une activité dominante. Son climat doux en a fait une station thermale populaire.
3. HISTOIRE Dans l'Antiquité s'élevait le site romain de Vescera à l'emplacement actuel de la ville. La tombe d'Okba, conquérant arabe de l'Afrique du Nord tué près de Biskra, porte la plus ancienne inscription arabe connue en Afrique du Nord. En 1844, après des siècles de domination par les Maures, Biskra fut prise par les Français. La ville abrite le Fort Saint-Germain, ancien poste militaire du temps de la colonisation française.
Population (1987) : 128 280 habitants.
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08 bechar
Bachar mandat se trouve à environ 1000 km au sud-ouest de la capitale algérienne. Plus précisément, sur la frontière de l'Algérie et le Maroc. Ahtlalhamn été une partie du français en 1903 est le palais antiques ruines archéologiques plus important - palais castors - ville Tagit archéologique climatique : hiver froid semi-désertique été sec et chaud Relief : une série du désert de montagnes de l'Atlas du Maroc s'étendant de la Far Karoz Mount notamment zone Antar: 160 000 km 2 Population : personnes de plus de 230,482
09 Blida
1. PRÉSENTATION Blida en arabe El-Boulaida, ville du nord de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom, au pied de l'Atlas, au sud d'Alger et de la plaine de la Mitidja.
2. ÉCONOMIE Blida est le centre commercial de la région environnante, qui produit essentiellement du blé et des oranges. Ses activités industrielles reposent sur le bâtiment et le secteur agroalimentaire (farines, huile d'olive).
3. HISTOIRE Fondée au XVIe siècle, la Blida compte, entre autres centres d'intérêt, une mosquée construite par le Barberousse Khayr al-Din (v. 1483-1546). La ville est occupée par les Français en 1838. Elle est, à deux reprises, détruite par un tremblement de terre, en 1825 et en 1867.
Population (1987) : 170 935 habitants.
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10 Bouira
Bouira mandat algérien situé dans le nord du pays bordé au nord du mandat de Tizi-Ouzou et au sud ouest du mandat du liquéfié Velayati Al Belaidi et vers l'est marée Bordj Bou Arreridj. Le symbole du mandat : 10. Appelée par Toverst principales attractions touristiques, tourisme de montagne de Tekgda : la ville d'al considère que le mandat des autres en exploitant le k touristique Tekgda éraflure situé sur la montagne et la valeur la plus élevée est les seules guides Khadija et à destination de toutes les régions du monde. Connu montre l'agriculture comme le blé (la plus importante usine en Algérie), pommes de terre
11 Tamanrasset
Tamanrasset, ville du sud de l’Algérie, chef-lieu de wilaya, dont l’oasis au cœur du Sahara algérien s’étend sur une superficie de 556 000 km2, située au sud-ouest du massif du Hoggar.
Tamanrasset constitue une étape importante sur la route du Niger, qui est la principale voie de pénétration à travers le Sahara algérien vers le sud du continent. La cité abrite un musée de la Préhistoire et de la Géologie.
En 1905, le père de Foucauld s’y établit et fut assassiné par des Senoussis en 1916.
Population : 86 114 habitants.
12 Tébessa
Tébessa, ou Tbessa, ville d’Algérie, chef-lieu de la wilaya (division administrative) de Tbessa, situé au nord du djebel Doukane.
À 45 km de la frontière algéro-tunisienne, Tébessa s’élève à 960 m d’altitude. Foyer artisanal, elle est aussi un important centre commercial et agricole et possède un grand nombre de ressources minières (phosphate) et forestières. Les vestiges romains sont aujourd’hui le principal attrait de la ville. L’ancienne enceinte byzantine ceinture l’agglomération. L’une de ses quatre portes est un arc de triomphe, à proximité duquel se trouve un temple dédié à Minerve datant du début du IIIe siècle. L’ensemble basilical est très bien conservé. L’édifice, consacré à une sainte locale, sainte Crispine, date de la fin du IVe siècle.
Tébessa, l’antique Théveste, est une importante ville romaine sur la grande voie stratégique entre Carthage et Lambèse. Elle abrite le quartier général de la IIIe légion d’Auguste à la fin du Ier siècle apr. J.-C. Colonie de près de 30 000 habitants sous Trajan, elle est pillée par les Vandales au Ve siècle, puis relevée en 535 par un général byzantin de l’empereur Justinien. Tébessa est prise par les Berbères en 597, puis par les Arabes en 682. Elle est occupée par une petite garnison de janissaires à l’époque turque. Malgré la fuite de cette dernière après
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13 Tlemcen
Tlemcen, ville du nord-ouest de l’Algérie, chef-lieu de la wilaya de Tlemcen.
La ville est entourée d’oliveraies et de vignobles. On y fabrique des tapis, des articles en cuir, des textiles et du vin.
Capitale de la principauté des Abdelwadides (1236-1554), dynastie musulmane d’origine berbère, Tlemcen tombe ensuite sous le joug des Turcs ottomans. En 1842, elle passe sous la domination française et le demeure jusqu’en 1962, date de l’indépendance de l’Algérie.
Population (1987) : 126 882 habitants.
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14 Tiaret
Chef-lieuTiaretDaïras6
Nb. communes42Superficie20 673 km² -
(14e)Population totale725 853 hab. - (15e)
(1998)Densité35 hab/km²
15 Tizi Ouzou
Histoire
Tizi-Ouzou a été le témoin du drame du Printemps noir (2001) où dans le village de Ath Douala, un jeune lycéen de 19 ans, répondant au nom de Guermah Massinissa, fut abattu par un élément de la gendarmerie. Ce fut alors l'embrasement général de toute la Kabylie, et plus de 130 jeunes furent tués par les autorités algériennes dans ce qui restera comme les pires émeutes qu'ait connues l'Algérie depuis l'indépendance.
Suite à ces évènements, plusieurs mouvements politiques ont fait leur apparition, certains réclamant une autonomie de la Kabylie, comme le Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK), d'autres encore une reconnaissance de la pluralité culturelle dont bénéficie l'Algérie, donc une reconnaissance de l'identité berbère de l'Algérie, comme le Mouvement Citoyen des Aarchs.
Personnalités Article détaillé : Figures kabyles.
Villes importantes des alentours
Industries
Le territoire de la région d'Alger a toujours compris la riche région agricole de la mitidja qui fournissait au port toutes ses richesses. La première délimitation administrative moderne d'Alger date de l'ère ottomane sous la régence d'Alger. C'est Hassan Pacha qui pour mieux gérer les provinces décide de créer les beyliks du Titteri au centre (1548), de Mazouna à l'ouest (1565) et celui de Constantine à l'est (en 1567).
Subdivisions de la wilaya [modifier]La Wilaya d'Alger est composée de 13 daïras (circonscriptions administratives), chacune comprenant plusieurs communes, pour un total de 57 communes.Carte de la Wilaya d'Alger avec la localisation des communes et délimitation des daïras.
Culture [modifier]Le potentiel touristique d'Alger reste encore tres mal exploité Des projets pour ameliorer la situation se multiplient, mais ne se concretisent pas toujours
17 Djelfa
www.djelfa.org
18 Jijel
fr.wikipedia.org/wiki/Jijel
19 Setif
Sétif, ville du nord-est de l’Algérie, chef-lieu de la wilaya de Sétif.
Située au sud des montagnes de Petite Kabylie, Sétif est un marché agricole disposant de bonnes communications routières et ferroviaires. Des céréales et du bétail sont produits dans la région environnante. Les gisements de phosphate, autrefois considérables, s’épuisent de plus en plus. Les principales industries à Sétif sont la minoterie, le travail du bois et la fabrication de tapis. Il existe des gisements de zinc à proximité et un site de production hydroélectrique au nord. La ville possède une université depuis 1978.
Colonie romaine, fondée au ier siècle apr. J.-C., la ville est alors appelée le « grenier de Rome ». Elle devient la capitale de la province de Mauritanie au iiie siècle. Les Français, colonisant l’Algérie, occupent Sétif au xixe siècle, et une garnison y est établie en 1838.
En mai 1945, des émeutes nationalistes ont lieu à Sétif, à l’occasion des manifestations du 8 mai célébrant la victoire sur l’Allemagne nazie. Elles dégénèrent rapidement, causant la mort de 21 Européens et se propagent dans tous le Constantinois, notamment à Bône et à Guelma. Au total, 98 Européens sont assassinés. La répression de l’armée française, sous les ordres du général Duval, se montre très violente. 6 000 à 8 000 Algériens sont massacrés, tant par les opérations militaires que par les expéditions punitives de colons. Premiers signes de la guerre d’Algérie qui débutera 9 ans plus tard, les émeutes de Sétif ont marqué le début de la marche vers l’indépendance.
Population (1987) : 170 182 habitants.
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20 Saida
fr.wikipedia.org/wiki/Saïda
21 Skikda
Skikda, ville et port du nord-est de l’Algérie, sur la côte méditerranéenne, au nord de Constantine.
La ville produit des agrumes, des légumes, du bétail, du blé et du vin. L’activité industrielle est dominée par la pétrochimie, les fonderies de minerai de fer, la production d’aluminium et la transformation du poisson et des denrées agricoles. Skikda est le principal débouché méditerranéen de Constantine.
La ville actuelle fut fondée par les Français en 1838 sous le nom de Philippeville sur le site d’une ancienne colonie romaine.
Population (1987) : 128 747 habitants.
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22 Sidi Bel Abbès
Sidi Bel Abbès, ville du nord-ouest de l’Algérie, chef-lieu de la wilaya de Sidi Bel Abbès, dans la plaine du même nom.
Au centre d’une grande région agricole, Sidi Bel Abbès est un important marché des productions viticoles, céréalières et maraîchères des campagnes environnantes pour lesquelles la ville exerce également des fonctions de services.
La ville fut le quartier général de la Légion étrangère française jusqu’à l’indépendance de l’Algérie, en 1962.
Population (1987) : 152 778 habitants.
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23 Annaba
Annaba, ville du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom, au pied du massif de l'Edough, à proximité de l'embouchure de l'oued Seybouse, sur la Méditerranée.
Annaba est un des principaux centres industriels du pays. Son développement économique, amorcé pendant la colonisation, repose notamment sur ses activités portuaires (exportation de phosphate, de fer, de liège en provenance du massif de l'Edough, et de produits agricoles) et sur ses industries (en particulier, la sidérurgie, la métallurgie et la construction de matériel ferroviaire). La ville, aujourd'hui la quatrième du pays, est un important pôle d'attraction pour les populations rurales de l'Est algérien et connaît, de ce fait une forte croissance démographique qui s'accompagne d'une urbanisation galopante. Une ligne de chemin de fer relie Annaba ville à Alger, Constantine et Biskra ainsi qu'à diverses grandes villes de Tunisie et du Maroc.
Annaba (anciennement Bône) est située à proximité du site antique d'Hippone, où saint Augustin fut évêque de 395 à 430. Les Français conquirent la ville en 1832. Les Alliés l'investirent pendant la Seconde Guerre mondiale et l'utilisèrent comme base offensive.
Population (1987) : 305 526 habitants.
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24 Wilaya de Guelma
fr.wikipedia.org/wiki/Guelma
25 Wilaya de Constantine
1. PRÉSENTATION Constantine, ville du nord-est de l’Algérie, chef-lieu de wilaya situé dans les monts de Constantine.
La ville s’étend sur un plateau rocailleux à plus de 640 m au-dessus du niveau de la mer et est entourée par les gorges profondes du Rummel. L’oued est enjambé par un viaduc et par de nombreux ponts, qui permettent de le franchir au nord et au nord-est.
2. ÉCONOMIE Ses productions reposent sur l’industrie et l’artisanat, et font l’objet d’un vaste commerce avec les villes d’Alger, de Tunis, d’Annaba, de Biskra et de Skikda (le port de Constantine).
3. PATRIMOINE Viaduc de Constantine (Algérie) Viaduc de Constantine (Algérie) Située dans une zone de hauts plateaux et encerclée par des gorges profondes, la ville de Constantine est traversée par l'oued Rummel. De nombreux ponts et un viaduc enjambent ce cours d'eau. Encyclopédie Encarta Gerard Boutin/Explorer/Photo Researchers, Inc. Agrandir Le quartier maure, le secteur le plus ancien de la ville, caractérisé par ses étroites ruelles sinueuses et son architecture orientale, contraste nettement avec le style du vaste quartier moderne. La ville abrite une casbah, ou citadelle romaine (qui est aujourd’hui un hôpital), la mosquée Sidiel-Kattani du XVIIIe siècle et un palais maure du XIXe siècle, qui servit de résidence au gouverneur français jusqu’à l’indépendance de l’Algérie. La cité compte divers établissements d’enseignement et institutions culturelles, dont l’université de Constantine (1969) et le musée de Cirta.
4. HISTOIRE Constantine fut fondée en 313 apr. J.-C. par l’empereur romain Constantin le Grand sur le site de la cité antique numide de Cirta. Les Arabes occupèrent la région au VIIe siècle, puis les Turcs, et en 1837, les Français s’en emparèrent.
Population (1998) : 462 187 habitants.
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26 Wilaya de Médéa
fr.wikipedia.org/wiki/Médéa
27 Wilaya de Mostaganem
Mostaganem, ville d’Algérie, chef-lieu de wilaya, située dans le nord du pays, sur le golfe d’Arzew donnant sur la mer Méditerranée.
Centre commercial des régions agricoles environnantes produisant des céréales, des légumes et du vin, Mostaganem possède des distilleries, des minoteries et des usines de construction électrique.
Mostaganem est fondée au xie siècle. Après avoir connu une période prospère, la ville décline pendant la domination turque, et se rétablit au moment où les Français en prennent le contrôle en 1833.
Population (1998) : 631 057 habitants.
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28 Wilaya de M'Sila
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_de_M'Sila
29 Wilaya de Mascara
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_de_Mascara
30 Wilaya d'Ouargla
fr.wikipedia.org/wiki/Communes_de_la_wilaya_d'Ouargla
31 Wilaya d'Oran
1. PRÉSENTATION Oran, en arabe Warhān, ville du nord-ouest de l’Algérie, chef-lieu du wilaya du même nom, sur le golfe d’Oran.
2. GÉOGRAPHIE Dominée à l’ouest par les monts de l’Aidour, Oran s’étire de part et d’autre d’un ravin (aujourd’hui comblé) formé par l’oued R’Hi. La ville haute est reliée aux anciens quartiers (dont le plus ancien est la Calère) qui s’étendent le long du littoral méditerranéen. Les faubourgs de la ville se développent vers le sud-est et le nord-est. La grande citadelle de Santa Cruz, construite par les Turcs ottomans, la grande mosquée Djamaa El-Pacha (1796) et la Casbah témoignent de son passé. Ville culturelle, elle est la capitale du raï et a vu naître entre autres le chanteur Khaled. Elle a également servi de décor à un roman de Camus, la Peste.
3. ÉCONOMIE Oran est un port très actif (le deuxième du pays) ainsi qu’un important centre commercial et industriel. Ses principales exportations sont le plastique, les produits chimiques, le vin et les produits alimentaires. Les ressources de gaz naturel du Sahara sont acheminées jusqu’à la ville par gazoducs. Oran est également une ville universitaire abritant l’université d’Oran (1965), l’université de sciences et de technologie (1975) ; elle possède, en outre, des instituts de musique, de dramaturgie, de météorologie et de télécommunications.
4. HISTOIRE Bellemou Messaoud, Rire Zarga Ouana (raï, Algérie) Bellemou Messaoud, Rire Zarga Ouana (raï, Algérie) Originaire d'Algérie, le raï s'est développé dans l'ouest du pays, autour de la ville portuaire d'Oran. Dans les années 1960, Bellemou Messaoud, que l'on peut entendre dans cet extrait, est l'un des premiers à remplacer les instruments traditionnels par des trompettes, des saxophones, des accordéons et des guitares électriques. Encyclopédie Encarta «Rire Zarga Ouana», interprété par Bellemou Messaoud, extrait de Bellemou Messaoud : le père du rai (Cat.# WCD 011) (c) et (p)1989 World Circuit, Publié par World Circuit Music. Tous droits réservés. Agrandir Connue sous le nom d’Ifri (les « cavernes »), la région est habitée dès la préhistoire. Ancienne colonie romaine, Oran a été vraisemblablement fondée au début du xe siècle par des marins et commerçants musulmans andalous. Prospère sous les Almohades puis sous les Ziyanides de Tlemcen, elle devient un important centre d’échanges commerciaux entre l’Afrique du Nord et l’Espagne des Maures. Les Espagnols l’occupent de 1509 à 1708 puis à nouveau au xviiie siècle (1732-1791) après la prise de pouvoir des forces ottomanes. Ils favorisent l’essor de la ville en édifiant notamment le fort de Santa Cruz. En 1790, la ville est ravagée par un séisme. Détruite, elle est rendue à l’islam et devient la résidence du Bey de l’Ouest. Elle est annexée par la France en 1831 et connaît un nouvel essor économique grâce au développement du réseau ferroviaire et routier et à la construction, en 1848, d’un port artificiel. Elle devient la capitale d’une grande région agricole et sa population ne cesse de s’accroître en raison d’une forte immigration espagnole. Elle est occupée par les Alliés en 1942. Après l’indépendance de 1962, plus de 200 000 habitants européens ont quitté la ville. Sinistrée pendant plusieurs décennies, la ville a su peu à peu regagner sa vitalité dans une Algérie toujours déchirée par la guerre civile.
Population (1998) : 655 852 habitants.
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32 Wilaya d'El Bayadh
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_d'El-Bayadh
33 Wilaya d'Illizi
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_d'Illizi
34 Wilaya de Bordj Bou Arreridj
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_de_Bordj_Bou_Arreridj
35 Wilaya de Boumerdès
fr.wikipedia.org/wiki/Catégorie:Wilaya_de_Boumerdès
36 Wilaya d'El Tarf
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_d'El_Tarf
37 Wilaya de Tindouf
38Wilaya de Tissemsilt
8
22
3 152 Km2
304 594
39
Wilaya d'El Oued
12
30
54 573 Km2
617 691
40
Wilaya de Khenchela
8
21
9 811 Km2
377 577
41
Wilaya de Souk Ahras
10
26
4 541 Km2
412 281
42
Wilaya de Tipaza
10
28
1 605 Km2
571 619
43
Wilaya de Mila
13
32
9 373 Km2
768 669
44
Wilaya d'Aïn Defla
14
36
4 891 Km2
754 692
45
Wilaya de Naâma
7
12
29 950 Km2
146 157
46
Wilaya d'Aïn Témouchent
8
28
2 379 Km2
368 309
47
Wilaya de Ghardaia
9
13
86 105 Km2
361 570
48
Wilaya de Relizane
Adrar, ensemble montagneux du Sahara, situé dans le centre de la Mauritanie.
2. MILIEU NATUREL Plateaux de l'Adrar (Mauritanie) Plateaux de l'Adrar (Mauritanie) L'Adrar est un ensemble montagneux du Sahara, situé dans le centre de la Mauritanie. Encyclopédie Encarta Nik Wheeler/Corbis Agrandir Les plateaux tabulaires de l’Adrar, plissés selon un axe nord-sud-ouest, bordent à l’ouest l’immense plaine de sable de la Majabat al-Koubra. Profondément entaillés par l’érosion, entrecoupés d’oueds, le plus souvent à sec, ils s’élèvent à une altitude moyenne de 500 m, culminant à 835 m au piton de Teniagouni. Des oasis, menacées par l’avancée des sables, constituent les seuls pôles de peuplement. On y cultive le palmier-dattier depuis le début de notre ère, ainsi que le mil, le blé et l’orge. Atar, l’agglomération la plus importante, en bordure méridionale de l’Adrar est ceinturée de jardins-maraîchers. À l’est de Chinguetti s’étendent de grands ergs, jusqu’à Ouadane, dernière cité avant la Majabat al-Koubra. Aux confins orientaux du massif, le Guelb er Richat, vaste de 40 km, constitué de cercles concentriques, correspond au cratère d’un volcan avorté.
3. HISTOIRE Des vestiges archéologiques témoignent que l’Adrar est peuplé dès le paléolithique. Une civilisation acheuléenne de chasseurs-nomades a laissé des bifaces, des hachereaux et autres outils vieux de 300 000 à 400 000 ans. D’abondantes pointes de flèches et de nombreuses peintures et gravures rupestres, notamment dans l’impressionnante passe d’Amodjar entre Atar et Chinguetti, permettent de retracer le passage au néolithique, les plus anciennes peintures rupestres étant datées de 8 000 à 6 000 ans avant notre ère. La domestication des bovins est attestée au troisième millénaire avant J.-C.
L’islam s’est diffusé depuis le sud marocain dans l’Adrar mauritanien dès le viiie siècle, par l’intermédiaire des marchands empruntant les routes caravanières. Celles-ci sont dominées au xie siècle par les Sanhadja berbères, d’où sont issus les Almoravides. Le commerce transsaharien, qui permet le transit de l’or du Soudan, du cuivre d’Akjout et du sel d’Idjil vers le Maroc, des étoffes et des armes d’Afrique du Nord vers le Mali et l’Afrique noire, assure la prospérité des villes caravanières. Ouadane est la plus importante des cités marchandes de l’Adrar, mais Chinguetti, fondée au xiiie siècle, rayonne sur l’islam de l’Ouest saharien. Centre de rassemblement des pèlerins en partance pour La Mecque, elle voit affluer les érudits et les étudiants dans ses écoles, ses bibliothèques et ses mosquées, et devient la septième ville sainte de l’islam pour les Mauritaniens.
La disparition du grand commerce transsaharien annonce le déclin des villes anciennes de l’Adrar, classées aujourd’hui au patrimoine mondial par l’Unesco, qui s’efforce de conserver les milliers de manuscrits figurant dans leurs bibliothèques. Le prestige des lettrés se maintient sous la domination des Hassan, qui fondent un émirat dans l’Adrar au xviie siècle. Les tribus Hassan opposent alors une farouche résistance à la colonisation française, au-delà de la conquête lancée par le commandant Gouraud en 1908.
Comment citer cet article : "Adrar." Microsoft® Encarta® 2009 [DVD]. Microsoft Corporation, 2008. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
02 Cheleff
Chleff, en arabe Ech Cheliff, ville du nord de l’Algérie, sur le fleuve Chélif.
C’est un pôle commercial pour les produits agricoles de la région et un petit centre industriel (impression, maroquinerie et produits alimentaires).
La ville fut fondée en 1843, comme fort français, sur le site d’une antique cité romaine, Castellum Tingitanum. Celle-ci fut sévèrement endommagée par des tremblements de terre en 1954 et en 1980. Chleff, s’appela Orléansville jusqu’en 1964, puis El-Asnam.
Population (1983) : 119 000 habitants.
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03 Laghouat
Laghouat mandat est l'un de l'algérien de quarante-huit, est la ville capitale État de Laghouat. Contenant beaucoup de bonnes choses célèbre en palmier dattier et que personnes sont plus généreux Laghouat siège de la ville touristique dans le Palais des Ford ou coin Altjanih célèbre dans le monde entier ou mandat de résidus de résidus du mandat ou le mandat du berbère algérien situé dans la partie orientale du pays. Bordé au sud et de l'est Khenchela Tébessa, ouest du mandat d'inclinaison et Batna et au nord du mandat de Guelma, Constantin. Loin de la capitale de l'état d'Alger à environ 500 mètres sur la côte donnant sur la mer Méditerranée, qui est situé à 300 km au nord de la frontière de l'état de la Tunisie et environ 100 mètres. [Modifier] population population estimée n'empêche pas de 600 mille habitants couvrant 29 population municipalités remplaçant (Shawia). De plus grandes villes de l'état de la ville [[ou résidus] avec une population de plus de 150 000 habitants = Service Melilla nommé une des plus grandes zones rurales circuit caractérisé où l'agriculture et élevage, soit le centre de la ville est un centre important pour le commerce de toutes sortes, où tout vendu est la recherche de pièces de voitures de pièces spéciales client et dispositifs Alaketromenzlih presque cela est l'énorme ville industrielle en Algérie. Suivie de la ville de Vérone a été nommée en termes de recensement de la région et de la population. Bruno nommé est la principale source de revenus de l'État, arguant qu'il gère le commerce et divers types de Allbusac et de tissus d'ameublement et de chaussures. Vaste quantité de marchandises importées des pays asiatiques tels que la Chine et les Émirats arabes Unis. Et considère la destination de la ville de nombreux visiteurs et Almtdain en raison des bas prix et diversifiée quantité des marchandises. On ne trouve aussi qu'aucune ville entre parenthèses Tantdharalastglal roumain Bhaathar, aussi appelé le mandat ou le mandat de résidus mont Sir Ferguson entourant la municipalité ou une chose de résidus qui leur donne un spectacle naturel merveilleux et mois pour faire revivre la municipalité ou les résidus Sonataiba La Albetons inférieure ci-dessus isolé 30 millions bonheur et mentor quartier Althtanih quartier Mohammed Lakhdar touristes (spray de bouleau) et l'absorption, Hydra et relancer le marché d'agriculteurs sous un renouveau d'un ancien mouvement fréquent et commerce, est également considéré comme le mandat ou le mandat modèle de résidus en Algérie depuis toutes les routes et les bâtiments est le thème peut dire sauf que merveilleux. Il y a aussi des Service Sagittaire, qui est considéré comme l'un des sites archéologiques plus importants, où l'ensemble de la ville de personnes Doulman, mais il n'a été révélé encore ces effets encore, parce qu'il y a toute la ville en vertu de la forêt « Ezra » il était révélé très peu de ces antiquités. L'État ou la tribu des plus célèbres est les boys tribu de Albwavi Abdel Wahab *** les garçons et Amara, *** fils Ahmed dit Achehraqbilh dans l'État ou les résidus sont résidentiels, composé de plusieurs tribus comprend également la vieille ville de le 02 arrondissement victoire ensemencée Kahi idéal et une banlieue Nmodji mieux nantis dans l'État où il vit lorsque habitants autochtones de la ville.
04 Batna
Batna, ville du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de wilaya, au nord du massif de l'Aurès.
Pôle commercial de la région agricole, Batna est reliée par voie ferrée au port méditerranéen d'Annaba. À l'ouest, sur les pentes du mont Touggour, se dressent des forêts de cèdres. À proximité se trouvent les ruines romaines de Timgad et de Lambèse. Batna fut fondée en 1840 par les Français et resta longtemps une ville de garnison.
Population (1998) : 242 514 habitants.
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05 Bejaia
Bejaïa, ville et port du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya de Bejaïa, à l'est de la Grande Kabylie sur la mer Méditerranée.
Les principales productions locales sont le vin, les minéraux, la laine, les peaux. Situé au débouché d'un important oléoduc (Hassi Messaoud), le port de Bejaïa exporte des hydrocarbures.
Fondée par les Carthaginois, la ville devint un important carrefour commercial et une base militaire de l'Empire romain. Au Ve siècle, Gaiséric, le roi des Vandales, s'en empara et l'entoura de fortifications. Occupée ensuite par les Berbères, la ville devint, en 1062, la capitale d'une dynastie berbère et demeura pendant de nombreuses années l'un des ports les plus importants d'Afrique du Nord. Après une occupation espagnole (1509), puis turque (1555), la ville perdit progressivement de son importance et, au début du XIXe siècle, elle n'était plus qu'une cité en ruines. Après avoir été prise par les Français en 1833, Bejaïa retrouva une certaine prospérité. Le port fut agrandi et remis en état et une ligne ferroviaire fut construite afin de relier la ville au réseau Tunis-Oran.
Population (1987) : 114 534 habitants.
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07 Biskra
1. PRÉSENTATION Biskra, ville du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de wilaya.
2. ÉCONOMIE Située dans une oasis fertile au sud-ouest du massif de l'Aurès, Biskra est un centre de commerce pour les nomades de la région. La culture des fruits (dattes, olives, abricots et grenades) représente une activité dominante. Son climat doux en a fait une station thermale populaire.
3. HISTOIRE Dans l'Antiquité s'élevait le site romain de Vescera à l'emplacement actuel de la ville. La tombe d'Okba, conquérant arabe de l'Afrique du Nord tué près de Biskra, porte la plus ancienne inscription arabe connue en Afrique du Nord. En 1844, après des siècles de domination par les Maures, Biskra fut prise par les Français. La ville abrite le Fort Saint-Germain, ancien poste militaire du temps de la colonisation française.
Population (1987) : 128 280 habitants.
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08 bechar
Bachar mandat se trouve à environ 1000 km au sud-ouest de la capitale algérienne. Plus précisément, sur la frontière de l'Algérie et le Maroc. Ahtlalhamn été une partie du français en 1903 est le palais antiques ruines archéologiques plus important - palais castors - ville Tagit archéologique climatique : hiver froid semi-désertique été sec et chaud Relief : une série du désert de montagnes de l'Atlas du Maroc s'étendant de la Far Karoz Mount notamment zone Antar: 160 000 km 2 Population : personnes de plus de 230,482
09 Blida
1. PRÉSENTATION Blida en arabe El-Boulaida, ville du nord de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom, au pied de l'Atlas, au sud d'Alger et de la plaine de la Mitidja.
2. ÉCONOMIE Blida est le centre commercial de la région environnante, qui produit essentiellement du blé et des oranges. Ses activités industrielles reposent sur le bâtiment et le secteur agroalimentaire (farines, huile d'olive).
3. HISTOIRE Fondée au XVIe siècle, la Blida compte, entre autres centres d'intérêt, une mosquée construite par le Barberousse Khayr al-Din (v. 1483-1546). La ville est occupée par les Français en 1838. Elle est, à deux reprises, détruite par un tremblement de terre, en 1825 et en 1867.
Population (1987) : 170 935 habitants.
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10 Bouira
Bouira mandat algérien situé dans le nord du pays bordé au nord du mandat de Tizi-Ouzou et au sud ouest du mandat du liquéfié Velayati Al Belaidi et vers l'est marée Bordj Bou Arreridj. Le symbole du mandat : 10. Appelée par Toverst principales attractions touristiques, tourisme de montagne de Tekgda : la ville d'al considère que le mandat des autres en exploitant le k touristique Tekgda éraflure situé sur la montagne et la valeur la plus élevée est les seules guides Khadija et à destination de toutes les régions du monde. Connu montre l'agriculture comme le blé (la plus importante usine en Algérie), pommes de terre
11 Tamanrasset
Tamanrasset, ville du sud de l’Algérie, chef-lieu de wilaya, dont l’oasis au cœur du Sahara algérien s’étend sur une superficie de 556 000 km2, située au sud-ouest du massif du Hoggar.
Tamanrasset constitue une étape importante sur la route du Niger, qui est la principale voie de pénétration à travers le Sahara algérien vers le sud du continent. La cité abrite un musée de la Préhistoire et de la Géologie.
En 1905, le père de Foucauld s’y établit et fut assassiné par des Senoussis en 1916.
Population : 86 114 habitants.
12 Tébessa
Tébessa, ou Tbessa, ville d’Algérie, chef-lieu de la wilaya (division administrative) de Tbessa, situé au nord du djebel Doukane.
À 45 km de la frontière algéro-tunisienne, Tébessa s’élève à 960 m d’altitude. Foyer artisanal, elle est aussi un important centre commercial et agricole et possède un grand nombre de ressources minières (phosphate) et forestières. Les vestiges romains sont aujourd’hui le principal attrait de la ville. L’ancienne enceinte byzantine ceinture l’agglomération. L’une de ses quatre portes est un arc de triomphe, à proximité duquel se trouve un temple dédié à Minerve datant du début du IIIe siècle. L’ensemble basilical est très bien conservé. L’édifice, consacré à une sainte locale, sainte Crispine, date de la fin du IVe siècle.
Tébessa, l’antique Théveste, est une importante ville romaine sur la grande voie stratégique entre Carthage et Lambèse. Elle abrite le quartier général de la IIIe légion d’Auguste à la fin du Ier siècle apr. J.-C. Colonie de près de 30 000 habitants sous Trajan, elle est pillée par les Vandales au Ve siècle, puis relevée en 535 par un général byzantin de l’empereur Justinien. Tébessa est prise par les Berbères en 597, puis par les Arabes en 682. Elle est occupée par une petite garnison de janissaires à l’époque turque. Malgré la fuite de cette dernière après
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13 Tlemcen
Tlemcen, ville du nord-ouest de l’Algérie, chef-lieu de la wilaya de Tlemcen.
La ville est entourée d’oliveraies et de vignobles. On y fabrique des tapis, des articles en cuir, des textiles et du vin.
Capitale de la principauté des Abdelwadides (1236-1554), dynastie musulmane d’origine berbère, Tlemcen tombe ensuite sous le joug des Turcs ottomans. En 1842, elle passe sous la domination française et le demeure jusqu’en 1962, date de l’indépendance de l’Algérie.
Population (1987) : 126 882 habitants.
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14 Tiaret
Chef-lieuTiaretDaïras6
Nb. communes42Superficie20 673 km² -
(14e)Population totale725 853 hab. - (15e)
(1998)Densité35 hab/km²
15 Tizi Ouzou
Histoire
Tizi-Ouzou a été le témoin du drame du Printemps noir (2001) où dans le village de Ath Douala, un jeune lycéen de 19 ans, répondant au nom de Guermah Massinissa, fut abattu par un élément de la gendarmerie. Ce fut alors l'embrasement général de toute la Kabylie, et plus de 130 jeunes furent tués par les autorités algériennes dans ce qui restera comme les pires émeutes qu'ait connues l'Algérie depuis l'indépendance.
Suite à ces évènements, plusieurs mouvements politiques ont fait leur apparition, certains réclamant une autonomie de la Kabylie, comme le Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK), d'autres encore une reconnaissance de la pluralité culturelle dont bénéficie l'Algérie, donc une reconnaissance de l'identité berbère de l'Algérie, comme le Mouvement Citoyen des Aarchs.
Personnalités Article détaillé : Figures kabyles.
- Khalida Toumi, Ministre de culture D'Algérie.
- Lounis Aït Menguellet, Chanteur, compositeur et poète Kabyle.
- Ali Fergani, ancien footballeur professionnel algérien, ex-entraîneur de l'équipe nationale algérienne.
- Mouloud Mammeri, écrivain, anthropologue et linguiste.
- Mouloud Feraoun, écrivain algérien d'expression française.
- Idir, de son vrai nom Hamid Cheriet, artiste et intellectuel.
- Brahim Izri, artiste (auteur/compositeur/interprète).
- Massa Bouchafa ,chanteuse,danseuse.
- Lalla Fatma N'Soumer, dirige la résistance kabyle contre l'armée coloniale française.
- Amar Imache, instigateur de la création de l'Étoile nord-africaine.
- Hocine Aït Ahmed, un des principaux chefs du FLN.
- Abane Ramdane, organise le congrès de La Soummam.
- Krim Belkacem, héros de la guerre d'Algérie, Accords d'Évian.
- Matoub Lounès, chanteur, défenseur de la culture berbère.
- Saïd Saadi, un des acteurs du Printemps berbère, secrétaire général du RCD.
- Fellag, comédien et écrivain.
- Mohand-Aârav Bessaoud, un des fondateurs de l'Académie berbère de Paris, officier du FLN-ALN jusqu'à l'indépendance.
- Ferhat Mehenni, acteur du printemps berbère et du mouvement associatif « Imazighen imoula », chanteur engagé, écrivain, homme politique, porte-parole du MAK.
- Loucif Hamani champion d'afrique de boxe et numéro 1 mondial pendant 10ans.
- Ali Zamoum, écrivain, héros de la révolution.
Villes importantes des alentours
- Bouzguene
- Ain El Hammam
- Azazga
- Azeffoun
- Beni Douala
- Boghni
- Draâ Ben Khedda
- Draâ El Mizan
- Larbaa Nath Irathen
- Tigzirt
Industries
- ENIEM Oued Aissi - le plus grand complexe africain de l'électroménager.
- ENEL Freha - Complexe des équipements électriques.
- IRDJEN - Complexe de produits rouges.
- Complexe de produits laitiers de Draâ Ben Khedda.
Le territoire de la région d'Alger a toujours compris la riche région agricole de la mitidja qui fournissait au port toutes ses richesses. La première délimitation administrative moderne d'Alger date de l'ère ottomane sous la régence d'Alger. C'est Hassan Pacha qui pour mieux gérer les provinces décide de créer les beyliks du Titteri au centre (1548), de Mazouna à l'ouest (1565) et celui de Constantine à l'est (en 1567).
- La province d'Alger qu'on nommait aussi Dar Es-Soltane (domaine de la courrone) qui relevait directement du dey était administrée par un agha (général) et quatre qaïds turcs. Elle regroupait un territoire comprenant les villes d'Alger, Blida, Koléa, Cherchell et Dellys.[1]
- Le 9 décembre1848, fut crée par les français le département d'Alger, jusque-là simple region de la province française d'Algérie. Le départment d'une superficie de 54 861 km² compte 6 sous-préfecture Aumale (Sour El-Ghozlane), Blida, Miliana, Orléanville (Chlef) et Tizi Ouzou.
- Le 20 mai1957 nouveau découpage administratif portant création de 12 départements. Le département d'Alger ne comprends plus que deux sous-préfectures, Blida et Maison-Blanche (Dar El Beïda) et comptant 67 communes pour une superficie de 3 393 km².
- Juin1974, création des wilayas de Blida et et Bouira, la wilaya d'Alger ne compte plus que 33 communes.
- 15 décembre1983, création des wilayas de Wilaya de Boumerdès et Tipaza.
- 1994, la wilaya passe de 33 à 38 communes en récupérant les communes de Rouiba, Reghaïa, H'raoua, Aïn Taya et El Marsa détachées de la wilaya de Boumerdès crée dix ans plutôt.
- 2 août1997, création du Gouvernorat du Grand d'Alger (GGA) qui remplace la wilaya avec à sa tête un Ministre-Gouverneur qui sera Cherif Rahmani.
- 2000, disolution du GGA pour cause d'inconstitutionalité de la nouvelle structure. Alger est de nouveau une wilaya tout en gardant son nouveau territoire de 57 communes.
Subdivisions de la wilaya [modifier]La Wilaya d'Alger est composée de 13 daïras (circonscriptions administratives), chacune comprenant plusieurs communes, pour un total de 57 communes.Carte de la Wilaya d'Alger avec la localisation des communes et délimitation des daïras.
Culture [modifier]Le potentiel touristique d'Alger reste encore tres mal exploité Des projets pour ameliorer la situation se multiplient, mais ne se concretisent pas toujours
17 Djelfa
www.djelfa.org
18 Jijel
fr.wikipedia.org/wiki/Jijel
19 Setif
Sétif, ville du nord-est de l’Algérie, chef-lieu de la wilaya de Sétif.
Située au sud des montagnes de Petite Kabylie, Sétif est un marché agricole disposant de bonnes communications routières et ferroviaires. Des céréales et du bétail sont produits dans la région environnante. Les gisements de phosphate, autrefois considérables, s’épuisent de plus en plus. Les principales industries à Sétif sont la minoterie, le travail du bois et la fabrication de tapis. Il existe des gisements de zinc à proximité et un site de production hydroélectrique au nord. La ville possède une université depuis 1978.
Colonie romaine, fondée au ier siècle apr. J.-C., la ville est alors appelée le « grenier de Rome ». Elle devient la capitale de la province de Mauritanie au iiie siècle. Les Français, colonisant l’Algérie, occupent Sétif au xixe siècle, et une garnison y est établie en 1838.
En mai 1945, des émeutes nationalistes ont lieu à Sétif, à l’occasion des manifestations du 8 mai célébrant la victoire sur l’Allemagne nazie. Elles dégénèrent rapidement, causant la mort de 21 Européens et se propagent dans tous le Constantinois, notamment à Bône et à Guelma. Au total, 98 Européens sont assassinés. La répression de l’armée française, sous les ordres du général Duval, se montre très violente. 6 000 à 8 000 Algériens sont massacrés, tant par les opérations militaires que par les expéditions punitives de colons. Premiers signes de la guerre d’Algérie qui débutera 9 ans plus tard, les émeutes de Sétif ont marqué le début de la marche vers l’indépendance.
Population (1987) : 170 182 habitants.
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20 Saida
fr.wikipedia.org/wiki/Saïda
21 Skikda
Skikda, ville et port du nord-est de l’Algérie, sur la côte méditerranéenne, au nord de Constantine.
La ville produit des agrumes, des légumes, du bétail, du blé et du vin. L’activité industrielle est dominée par la pétrochimie, les fonderies de minerai de fer, la production d’aluminium et la transformation du poisson et des denrées agricoles. Skikda est le principal débouché méditerranéen de Constantine.
La ville actuelle fut fondée par les Français en 1838 sous le nom de Philippeville sur le site d’une ancienne colonie romaine.
Population (1987) : 128 747 habitants.
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22 Sidi Bel Abbès
Sidi Bel Abbès, ville du nord-ouest de l’Algérie, chef-lieu de la wilaya de Sidi Bel Abbès, dans la plaine du même nom.
Au centre d’une grande région agricole, Sidi Bel Abbès est un important marché des productions viticoles, céréalières et maraîchères des campagnes environnantes pour lesquelles la ville exerce également des fonctions de services.
La ville fut le quartier général de la Légion étrangère française jusqu’à l’indépendance de l’Algérie, en 1962.
Population (1987) : 152 778 habitants.
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23 Annaba
Annaba, ville du nord-est de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom, au pied du massif de l'Edough, à proximité de l'embouchure de l'oued Seybouse, sur la Méditerranée.
Annaba est un des principaux centres industriels du pays. Son développement économique, amorcé pendant la colonisation, repose notamment sur ses activités portuaires (exportation de phosphate, de fer, de liège en provenance du massif de l'Edough, et de produits agricoles) et sur ses industries (en particulier, la sidérurgie, la métallurgie et la construction de matériel ferroviaire). La ville, aujourd'hui la quatrième du pays, est un important pôle d'attraction pour les populations rurales de l'Est algérien et connaît, de ce fait une forte croissance démographique qui s'accompagne d'une urbanisation galopante. Une ligne de chemin de fer relie Annaba ville à Alger, Constantine et Biskra ainsi qu'à diverses grandes villes de Tunisie et du Maroc.
Annaba (anciennement Bône) est située à proximité du site antique d'Hippone, où saint Augustin fut évêque de 395 à 430. Les Français conquirent la ville en 1832. Les Alliés l'investirent pendant la Seconde Guerre mondiale et l'utilisèrent comme base offensive.
Population (1987) : 305 526 habitants.
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24 Wilaya de Guelma
fr.wikipedia.org/wiki/Guelma
25 Wilaya de Constantine
1. PRÉSENTATION Constantine, ville du nord-est de l’Algérie, chef-lieu de wilaya situé dans les monts de Constantine.
La ville s’étend sur un plateau rocailleux à plus de 640 m au-dessus du niveau de la mer et est entourée par les gorges profondes du Rummel. L’oued est enjambé par un viaduc et par de nombreux ponts, qui permettent de le franchir au nord et au nord-est.
2. ÉCONOMIE Ses productions reposent sur l’industrie et l’artisanat, et font l’objet d’un vaste commerce avec les villes d’Alger, de Tunis, d’Annaba, de Biskra et de Skikda (le port de Constantine).
3. PATRIMOINE Viaduc de Constantine (Algérie) Viaduc de Constantine (Algérie) Située dans une zone de hauts plateaux et encerclée par des gorges profondes, la ville de Constantine est traversée par l'oued Rummel. De nombreux ponts et un viaduc enjambent ce cours d'eau. Encyclopédie Encarta Gerard Boutin/Explorer/Photo Researchers, Inc. Agrandir Le quartier maure, le secteur le plus ancien de la ville, caractérisé par ses étroites ruelles sinueuses et son architecture orientale, contraste nettement avec le style du vaste quartier moderne. La ville abrite une casbah, ou citadelle romaine (qui est aujourd’hui un hôpital), la mosquée Sidiel-Kattani du XVIIIe siècle et un palais maure du XIXe siècle, qui servit de résidence au gouverneur français jusqu’à l’indépendance de l’Algérie. La cité compte divers établissements d’enseignement et institutions culturelles, dont l’université de Constantine (1969) et le musée de Cirta.
4. HISTOIRE Constantine fut fondée en 313 apr. J.-C. par l’empereur romain Constantin le Grand sur le site de la cité antique numide de Cirta. Les Arabes occupèrent la région au VIIe siècle, puis les Turcs, et en 1837, les Français s’en emparèrent.
Population (1998) : 462 187 habitants.
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26 Wilaya de Médéa
fr.wikipedia.org/wiki/Médéa
27 Wilaya de Mostaganem
Mostaganem, ville d’Algérie, chef-lieu de wilaya, située dans le nord du pays, sur le golfe d’Arzew donnant sur la mer Méditerranée.
Centre commercial des régions agricoles environnantes produisant des céréales, des légumes et du vin, Mostaganem possède des distilleries, des minoteries et des usines de construction électrique.
Mostaganem est fondée au xie siècle. Après avoir connu une période prospère, la ville décline pendant la domination turque, et se rétablit au moment où les Français en prennent le contrôle en 1833.
Population (1998) : 631 057 habitants.
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28 Wilaya de M'Sila
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_de_M'Sila
29 Wilaya de Mascara
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_de_Mascara
30 Wilaya d'Ouargla
fr.wikipedia.org/wiki/Communes_de_la_wilaya_d'Ouargla
31 Wilaya d'Oran
1. PRÉSENTATION Oran, en arabe Warhān, ville du nord-ouest de l’Algérie, chef-lieu du wilaya du même nom, sur le golfe d’Oran.
2. GÉOGRAPHIE Dominée à l’ouest par les monts de l’Aidour, Oran s’étire de part et d’autre d’un ravin (aujourd’hui comblé) formé par l’oued R’Hi. La ville haute est reliée aux anciens quartiers (dont le plus ancien est la Calère) qui s’étendent le long du littoral méditerranéen. Les faubourgs de la ville se développent vers le sud-est et le nord-est. La grande citadelle de Santa Cruz, construite par les Turcs ottomans, la grande mosquée Djamaa El-Pacha (1796) et la Casbah témoignent de son passé. Ville culturelle, elle est la capitale du raï et a vu naître entre autres le chanteur Khaled. Elle a également servi de décor à un roman de Camus, la Peste.
3. ÉCONOMIE Oran est un port très actif (le deuxième du pays) ainsi qu’un important centre commercial et industriel. Ses principales exportations sont le plastique, les produits chimiques, le vin et les produits alimentaires. Les ressources de gaz naturel du Sahara sont acheminées jusqu’à la ville par gazoducs. Oran est également une ville universitaire abritant l’université d’Oran (1965), l’université de sciences et de technologie (1975) ; elle possède, en outre, des instituts de musique, de dramaturgie, de météorologie et de télécommunications.
4. HISTOIRE Bellemou Messaoud, Rire Zarga Ouana (raï, Algérie) Bellemou Messaoud, Rire Zarga Ouana (raï, Algérie) Originaire d'Algérie, le raï s'est développé dans l'ouest du pays, autour de la ville portuaire d'Oran. Dans les années 1960, Bellemou Messaoud, que l'on peut entendre dans cet extrait, est l'un des premiers à remplacer les instruments traditionnels par des trompettes, des saxophones, des accordéons et des guitares électriques. Encyclopédie Encarta «Rire Zarga Ouana», interprété par Bellemou Messaoud, extrait de Bellemou Messaoud : le père du rai (Cat.# WCD 011) (c) et (p)1989 World Circuit, Publié par World Circuit Music. Tous droits réservés. Agrandir Connue sous le nom d’Ifri (les « cavernes »), la région est habitée dès la préhistoire. Ancienne colonie romaine, Oran a été vraisemblablement fondée au début du xe siècle par des marins et commerçants musulmans andalous. Prospère sous les Almohades puis sous les Ziyanides de Tlemcen, elle devient un important centre d’échanges commerciaux entre l’Afrique du Nord et l’Espagne des Maures. Les Espagnols l’occupent de 1509 à 1708 puis à nouveau au xviiie siècle (1732-1791) après la prise de pouvoir des forces ottomanes. Ils favorisent l’essor de la ville en édifiant notamment le fort de Santa Cruz. En 1790, la ville est ravagée par un séisme. Détruite, elle est rendue à l’islam et devient la résidence du Bey de l’Ouest. Elle est annexée par la France en 1831 et connaît un nouvel essor économique grâce au développement du réseau ferroviaire et routier et à la construction, en 1848, d’un port artificiel. Elle devient la capitale d’une grande région agricole et sa population ne cesse de s’accroître en raison d’une forte immigration espagnole. Elle est occupée par les Alliés en 1942. Après l’indépendance de 1962, plus de 200 000 habitants européens ont quitté la ville. Sinistrée pendant plusieurs décennies, la ville a su peu à peu regagner sa vitalité dans une Algérie toujours déchirée par la guerre civile.
Population (1998) : 655 852 habitants.
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32 Wilaya d'El Bayadh
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_d'El-Bayadh
33 Wilaya d'Illizi
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_d'Illizi
34 Wilaya de Bordj Bou Arreridj
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_de_Bordj_Bou_Arreridj
35 Wilaya de Boumerdès
fr.wikipedia.org/wiki/Catégorie:Wilaya_de_Boumerdès
36 Wilaya d'El Tarf
fr.wikipedia.org/wiki/Wilaya_d'El_Tarf
37 Wilaya de Tindouf
38Wilaya de Tissemsilt
8
22
3 152 Km2
304 594
39
Wilaya d'El Oued
12
30
54 573 Km2
617 691
40
Wilaya de Khenchela
8
21
9 811 Km2
377 577
41
Wilaya de Souk Ahras
10
26
4 541 Km2
412 281
42
Wilaya de Tipaza
10
28
1 605 Km2
571 619
43
Wilaya de Mila
13
32
9 373 Km2
768 669
44
Wilaya d'Aïn Defla
14
36
4 891 Km2
754 692
45
Wilaya de Naâma
7
12
29 950 Km2
146 157
46
Wilaya d'Aïn Témouchent
8
28
2 379 Km2
368 309
47
Wilaya de Ghardaia
9
13
86 105 Km2
361 570
48
Wilaya de Relizane
